« Cherche en toi le manque et tu seras entier(e)» (canalisation)
- Nathalie Gregoire
- 16 mai
- 2 min de lecture
Comment identifier ce manque en moi ?
L’autre est un allié pour qui veut se regarder, en vérité.
Lorsque nous adressons des reproches à autrui, il est fort probable que ce qui fait défaut à l’autre nous fasse également défaut.
« Tu n’es pas assez ceci », « tu es trop cela » ; est-ce nous-même nous, ne serions pas assez ceci et trop cela ?
Par « l’effet miroir », il nous est possible de réaliser les manques en nous et ainsi, il nous est possible de nous corriger. C’est à dire de combler les manques.
Parce que l’autre est en partie nous, parce que nous sommes en partie l’autre.
Ceci est un principe déclinable, une loi universelle.
La maladie est une alliée pour qui veut se regarder, en vérité.
Comme pour notre relation à l’autre, la maladie est un indicateur de nos manques.
Parce qu’une chape de déni est posée sur un « traumatisme » (réel ou supposé, passé ou présent), le corps va exprimer « en contrepartie » là où se situe « le manque » d’expression, de regard sur la douleur (réelle ou supposée, passée ou présente).
Parce que nous sommes un corps et une âme, parce que l’un et l’autre sont intimement liés, nous ne pouvons guérir de l’un sans guérir de l’autre.
La violence du monde est une alliée pour qui veut se regarder, en vérité.
Comme le « refus de se voir » oblige le reproche et la maladie à s’exprimer, le refus de notre propre violence intérieure, son rejet loin de nous, oblige à exposer à l’extérieur le manque d’amour vrai que nous nous portons, les divisions que nous nous imposons individuellement.
Parce que nous sommes un corps, une âme et un esprit, parce que les trois ne sont qu’un, nous sommes des créateurs.
Cette loi universelle de Relation est la Loi de Réciprocité, cette loi s’exprime visuellement (est contenu) dans le symbole du Lemniscate (signe de l’infini).
(L’)Universel = (L’)Uni celle.
(L’)Universel = Sel de l’Uni.
« Accepter de se regarder en vérité est combler les manques »
Nathalie (Via Celui que j’appelle « l’Inspiration »)

Comentários